Un joli berlingot sous la jupe d’une blonde

sous-jupe

Mater sous les jupes des filles reste une activité très risquée, à mois d’avoir la chance de tomber sur une jolie blonde comme celle qui pose en photo, en train de se dévêtir pour dévoiler les secrets de son anatomie…

Que se passe-t-il sous les jupes des filles ? C’est la question renouvelée sans cesse, mais jamais directement et sans réponse prédéterminée. Les garçons n’auront en effet jamais assez d’informations pour se déterminer sur une ou l’autre définition de ce qui se trame sous les jupes, car des jolies femmes qui en portent, aucune n’est réellement disposée à donner une réponse précise, à moins qu’il n’en existe pas de toute faite et que cette dernière change pour chaque femme en jupe ! Pour cette jolie blonde en revanche, la jupe se porte courte et à motifs écossais. À l’occasion d’une séance photo, la nana va nous dévoiler tous les secrets de cet endroit charmant qui se manifeste à la façon d’une promesse, d’une invitation, ou de l’éventualité d’une relation possible. Quand la jeune femme commence à dégrafer son corsage, on comprend que la belle ne porte pas le moindre sous-vêtement dessous !

De mignons petits seins surgissent du corsage, pendant que sous la jupe des rondeurs aux contours bien dessinés se découvrent… Si la jolie blonde était encore une collégienne, on pourrait penser qu’elle est bien polissonne. Deux fesses bien rondes supportent les colonnes formées par les cuisses un peu à la façon dont les cariatides aux seins nus semblent soutenir nonchalamment les colonnes d’un temple dédié à quelque déesse grecque de l’amour. Quand la jolie blonde bouge sous l’injonction du photographe, c’est chaque fois une glissade vers l’inconnu, un changement dans la silhouette, qui apparaît dans sa plus simple vénusté pour le plus grand plaisir des yeux. On ne touche pas cependant, car la jupe demeure négligemment attachée à la taille. L’histoire, pour autant qu’elle ait une fin, ne nous dit pas où la nana veut en venir, mais on sent à son sourire enjôleur que cette jeune femme a dans la tête la même chose que nous entre les jambes…

Sous la jupe se dissimule un fruit velouté, à la chair pulpeuse et qui rosit dès qu’on le caresse avec la main, ou qu’on essaye d’en estimer la souplesse en y enfonçant l’index. Mais à la différence des fruits qui se trouvent sous l’arbre, celui-ci est à la fois ouvert et fermé. Le doigt est conduit par le sillon vers un orifice discret, où il est possible d’en extraire le jus :

Poursuivons cette charmante exhibition afin d’en observer les suites… Sous la jupe, la promesse va-t-elle se concrétiser avec l’apothéose du plaisir ? Les réponses nous sont données après qu’elle nous a tourné le dos.

Postez votre commentaire ici :